Poème posté par
dominique le 02/05/08 dans la catégorie Anniversaire |
c'est son jour c'est le 2 Mai
|
Une étoile est née au mois de mai.
Par son éclat que d’hommes elle a éblouie.
Par sa distance elle nous a fait rêver.
Aujourd’hui est le jour ou elle est née.
Aujourd’hui de cette journée elle doit rêver.
Même éloigné j’ai pour elle une pensée.
Que ce jour pour elle soit conte de fée
Son cadeau mon cœur je lui avais donné.
Ce jour pour elle je le voyais plus parfumé.
En allant à deux se baladé elle m’avait soufflé une idée.
Ce jour m’ayant rejeté, je n’ai pas osé l'importuner
Car avec sa famille elle préfère rester
Le mystère de son choix reste pour me hanter.
Sa journée je n’ai point voulu la gâcher.
Aussi aucun appel je ne lui ai lancé.
Seul avec mes larmes je dois rester.
Mais je sais que de sa journée
Larmes de bonheur lui ont coulées.
Car d’amis elle ne peut plus compté
Et ceux-ci ce jour lui ont montrés
Bon anniversaire à ma fée
|
|
Celui qui veille sur sa bouche et sur sa langue
Préserve son âme des angoisses
A vous mes frères et soeurs
Lorsque je quitterai ce rivage mortel et que je n’errerai plus en ce monde, ne pleurez pas, ne soupirez pas, ne sanglotez pas, j’aurai peut être trouvé mieux. N’allez pas acheter une couronne de fleurs que vous aurez bien du mal à payer. Ne soyez pas triste car je suis peut être mieux que vous.
Ne dites pas aux gens que j’étais un saint ou un tas d’autres choses que je n’étais. Si vous voulez m’en mettre plein la vue faites-le avant que je ne sois mort. Si vous avez des roses, soyez béni, accrochez-en à ma boutonnière pendant que je suis aujourd’hui encore bien en vie.
N’attendez pas que je sois parti.
BurkinaFaso
Bobo-Dioulasso
En nombre d'habitants, Bobo-Dioulasso (« la ville des Bobos et des Dioulas ») est la seconde ville du Burkina Faso. Sa gare est d'une étonnante architecture (le train relie Abidjan et Ouagadougou). Son maire est El Hadj Salia Sanou.
Situation géographique [modifier]
Situé à l’ouest du Burkina, deuxième ville du pays, encore appelé capitale économique, Bobo-Dioulasso couvre une superficie de 13 678 ha et comptait au recensement de 1985, 231 162 habitants. Le taux de croissance est de 7,23%, ce qui donne pour 1995, 412 000 habitants. La commune de Bobo-Dioulasso est administrée par un Maire et un bureau élus au sein du conseil municipal pour une durée de cinq ans. La ville bénéficie d'un climat plutôt doux.
Poste administratif et militaire dès 1897, la ville actuelle de Bobo-Dioulasso a connu un long cheminement. En effet, la ville de Bobo-Dioulasso a pris naissance et s’est développée à partir d’un petit village appelé « Kibidoué » fondé par des agriculteurs Bobo venus du Mandé vers 1050.
Ces agriculteurs Bobo, après s’être installés sous le « Kibi » qui signifie arbre en Bobo décidèrent de baptiser leur village « Kibidoué ». Par la suite, Kibidoué donnera « Sya » village plus gros avec l’arrivée progressive des commerçants Dioula venus du royaume de Kong et d’autres migrants venus du sud.
La légende consacre plusieurs versions à cette appellation de Sya et l’une des versions dit que Sya était le nom d’une jeune vendeuse de dolo à Kibidoué, réputée pour sa générosité.
En 1904, le Commandant Caudrelier baptise la ville Bobo-Dioulasso, ce qui, littéralement traduit du Dioula signifie la « maison des Bobo et des Dioula ».
Découpage administratif [modifier]
À l’étape actuelle, il convient de retenir qu’aux termes de l’article 7 de la loi n 004/93/ADP du 12 mai 1993 portant organisation municipale, Bobo-Dioulasso est érigée en commune de plein exercice, statut dont elle bénéficiait d’ailleurs compte tenu de son importance.
La loi n 006/93/ADP du 12 mai 1993 consacre à la commune de Bobo-Dioulasso un statut particulier.
Aux termes de l’article 2 de cette loi, la commune de Bobo-Dioulasso est organisée en trois arrondissements qui sont :
C’est cette même loi qui fixe les limites de la commune de Bobo-Dioulasso.
Ces communes regroupent vingt cinq secteurs. Chaque secteur comporte un ancien nom mais avec la nouvelle nomination en secteur le terme ex est utilisé pour les désigner. Exemple : Secteur 1 ex Dioulassoba.
À Bobo-Dioulasso, c’est l’administration et le commerce qui constituent les branches d’activités les plus importantes.
Ces deux branches d’activités occupent les deux tiers des actifs. Les services dans leur ensemble concentrent 84% des actifs.
Les caractéristiques socio-économiques de Bobo-Dioulasso peuvent s’analyser à travers les fonctions urbaines tels que les transports, le commerce, l’industrie, les services publics et l’agriculture.
Du fait de sa position de carrefour international, la fonction commerciale tient une place de choix dans la ville de Bobo-Dioulasso. Un grand nombre de maisons de commerce nationales et étrangères ont leur siège à Sya.
Le répertoire de la Chambre de Commerce dénombre 180 établissements de commerce allant du commerce général à l’import–export, à la vente de textiles, de matériaux de construction, au commerce des machines, automobiles, appareils électriques ; Bobo-Dioulasso compte environ 18 marchés.
L’essentiel du tissu industriel Bobolais est constitué par l’agro-alimentation (Brakina, Citec Huilerie) par l’agro-industrie (Sofitex, Sofib, Mabucig), industrie légère (Sonaceb cartonnage, Winner piles, Filsah produits cotonniers), par la mécanique et la métallurgie (Sifa, CBTM, Profimétaux, EERI-BF, AUMI) et par la chimie et ses dérivés (Saphyto, SAP). La zone industrielle aménagée le long de la voie ferrée s’étend actuellement vers le quartier Lafiabougou.
L’industrie Bobolaise est surtout destinée au marché intérieur mais avec le développement de la filière coton, il est possible d’envisager une industrie d’exportation.
Depuis 2005 une industrie d'exportation de fruits notamment de mangues fraîches s'est mis en place. Il y a une station de conditionnement publique - le Terminal Fruitier - et une station privée.
L'aéroport de Bobo-Dioulasso (ICAO : DFOO) est doté d'une piste de 3 300 m (après Dakar la plus longue de l'Afrique occidentale) et peut recevoir tout type d'avions. Il y a deux vols par semaine vers Abidjan et Ouagadougou.
Bobo-Dioulasso est situé sur le chemin de fer Abidjan-Ouagadougou, exploité par la Sitarail. Il y a trois trains passagers par semaine sur Abidjan et Ouagadougou, et environ deux trains de marchandises par jour. Une plate-forme à conteneurs moderne se trouve dans la zone industrielle.
Pour le transport routier, la ville est un important carrefour sur l'axe Mali-Lomé.