Les mégaconcerts tout comme les rues populaires de Ouagadougou et des autres capitales d’Afrique sont leurs éléments. Il suffit d’allumer la brèche de leurs micros pour que le duo, à la tchatche musicale élaborée, démontrent leurs talents de pyromanes musicaux. Les mots constituent leur arsenal, les quatre musiciens qui les accompagnent leurs commandos. Et Yeleen ne se retrouve jamais à cours de munitions. Si leurs phrasés font mouche à tous les coups, leurs musiques, enracinées en Afrique mais métissées avec des sonorités du Nord, font groover-bouger le public.

Toujours proches des réalités Que ce soit en moré, en dioula, en français ou en arabe, ils décrivent dans leurs textes les réalités quotidiennes de leurs compatriotes africains et dissèquent subtilement les maux du continent dans un style Hip Hop, Rap et Afro-soul. « C’est comme un tableau de peinture. Nous peignons avec les mots ce que nous vivons, sans artifices. Nous chantons ce qui ne va pas mais aussi ce qui va bien », explique Mawndoe dans un maquis de Cotonou où ils transitent avant de s’envoler pour le Gabon où ils sont attendus pour un concert. Distillant ainsi une lueur d’espoir à la jeunesse marquée au fer chaud par l’indigence et l’absence de projets, un message de paix mais aussi un éclairage sur la géopolitique ô combien agitée d’une Afrique désunie. « Si nous parlons de politique, c’est toujours avec délicatesse et dans la suggestion. Nous ne sommes attachés à aucun parti, nous sommes libres de nos idées et ne subissons aucune influence. En tant qu’artiste, on raconte ce qu’on voit ce qu’on sait mais nous ne sommes pas des acteurs politiques, juste des simples citoyens parfois révoltés ».

Dans leur troisième opus, dans les bacs depuis 2006, « Dar-Es-Salam » - terre de paix en arabe-, le duo de rappeur n’épargne pas la classe dirigeante africaine, jetant l’anathème avec tact sur la corruption, les trafics d’influence et autres turpitudes politiques. Marqués et inspirés par les valeurs de feu Sankara, Cheikh Anta Diop, Lumumba, ils propagent leur message de paix sur le continent. Aux antipodes des clichés US de rappeurs bling bling assoiffés de pépètes et de naïades stringuées, Yeleen garde les pieds sur terre et continue de miser avec zèle sur la qualité textuelle et musicale, fruit d’un travail acharné. C’est leur marque de fabrique. Ce qui explique la longévité de leur succès qui, depuis six années, ne s’amenuise pas.

De l’ombre à la lumière

Avant de brûler les planches des plus grandes scènes ouest-africaines et d’égréner les festivals d’Europe et du Canada, la route fut longue et semée d’embûches. Ces rossignols urbains ont dû se battre pour survivre d’abord, pour percer ensuite. « Personne ne misait sur nous, on s’attendait au pire. En Afrique, on vit au jour le jour sans prévoir dans un mois ou un an ce que notre vie sera. On a du supporter beaucoup d’aléas mais nous sommes restés fixés sur notre objectif », racontent-il avec fierté et émotion. Des épreuves, ils en ont traversées dans les cayucos de la galère urbaine africaine.

Jeune sculpteur sur bois, Mawndoe a quitté le Tchad en 1999 pour tenter sa chance à Ouaga. Dans les méandres de la capitale burkinabé, il fait la rencontre de Smarty qui, depuis son retour précipité de Côte d’Ivoire, multiplie les petits boulots à la pelle tout en rappant. De leur rencontre jaillit la lumière dés 2001 avec leur premier album « juste 1 peu 2 lumière ». Lors du premier concert, le jour de sortie de la cassette, « nous avions tous les problèmes. Nous étions endettés…Mais les gens sont venus avec des bougies dans une salle de 800 personnes pour nous soutenir. Je m’en souviendrais toujours. Ça a fait chaud au cœur », se rappelle Mawndoe. En décembre 2003, Smarty et Mawndoe renforcent leur ora avec leur second album titré « Dieu seul sait ».

Leurs musiques sonnent juste dans les oreilles du public. Et tout s’accélère. Salles combles au Burkina, tournée à guichets fermés en Côte d’Ivoire, au Mali, en Europe et au Canada. Sur la route du succès, le duo rafle cette année la prestigieuse récompense musicale Kundé d’or. Et se permet le luxe de remplir en 2003 le stade de Ouaga avec 20 000 personnes en liesse. Une première ! Jamais aucun artiste burkinabè n’a relevé ce défi. Loin de se reposer sur leurs lauriers, ils enchaînent les concerts et préparent la sortie du prochain album en Europe avec beaucoup de featurings d’artistes africains. Ils étaient le 29 septembre dernier au stade de N’Djamena et fourbissent une tournée des festivals en Europe.

Abou OUATTARA Source : Journal d’Afrik.com
QUE ALLAH VOUS INSPIRE D'AVANTAGE

Révélé de façon timide aux Kundé 2005 grâce au flair de son producteur, Florent Bélemyegré alias Floby, a marqué 2006 en recevant les Kundé de la révélation et de l’artiste le plus joué en discothèque. En 2007, il a tout simplement fait la "Une" musicale au Faso.

Florent Bélemyégré alias Floby est une perle musicale au Faso. Il fait partie de la jeune crème des artistes qui imposent le respect à la musique burkinabè. Jeune garçon très timide et beaucoup souriant à l’image d’un aîné à lui (je veux parler de Yoni), Floby a du talent ; un talent que tout le Burkina Faso a découvert par le biais de son premier album, "Mam Sooré". Cette titraille n’est forcément pas le fait du hasard. Floby est certainement la star en devenir de la musique burkinabè. Il y a de l’espoir au regard de ce qu’il a démontré avec l’album "Mam Sooré".

De ses atouts artistiques

La réussite de Floby dans l’univers musical est due à plusieurs facteurs. Il est loin d’être un parvenu dans le domaine comme bon nombre d’artistes-musiciens burkinabè. Floby possède avant tout une voix mélodieuse. Du timbre mélancolique à la voix langoureuse, l’artiste sait en faire usage. Le deuxième atout réside dans la maîtrise de sa langue maternelle. La thématique de ses chansons le prouve et les initiés n’ont pas tardé à lui tirer le chapeau pour cela. Ces aspects prouvent également que non seulement, Floby sait composer mais aussi chanter. Et c’est cela l’artiste ! Le dernier aspect de son succès et non des moindres, c’est l’équipe managériale. Son producteur, Papus Ismaël Zongo de Merveilles Production et son manager Ben Kelly de BéogoProd. 4 ont su encadrer leur poulain et le mener sur la voie de la réussite. Toujours au fait de l’actualité, ils ont toujours placé leur artiste dans les bons coups.

Ce qui explicite le choix l’artiste-musicien 2007

En 2007, du nord au sud, de l’est à l’ouest du Burkina Faso, les titres "Rosine", "Espérance", "Viima Loda", "Poug Konré", ont été fredonnés par tous les mélomanes. La musique de Floby a plu à tous les Burkinabè. L’équipe managériale l’a compris en initiant "Floby Tour 2007" en mars 2007 dans douze villes du Burkina Faso. L’artiste ne pouvait que verser des larmes à la Maison du peuple au bouquet final vendredi 6 avril 2007. Après "Floby Tour", l’artiste a encore été coopté du 27 octobre au 03 novembre 2007 pour la "Caravane ABBEF". A cette occasion, il a été fait "Ambassadeur des enfants de la rue".

Enfin, à tous les grands événements qui ont marqué le pays en 2007 (grandes conférences, grands rendez-vous culturels), il a toujours été invité pour le bonheur des invités et des mélomanes. Pour Floby, l’année 2007 a été incontestablement une année de succès. 2008 pour lui s’annonce déjà avec beaucoup de projets. Son 2e album est prévu pour sortir le 30 juin 2008. Mais avant cela, Floby sera au rendez-vous de ses fans en fin janvier 2008 en concert live aux CCF de Bobo et de Ouagadougou ainsi qu’au CENASA. Il ira également à la conquête du public ivoirien le 14 janvier 2008. Il donnera en effet à Abidjan, un concert au palais de la Culture. Enfin, en mars 2008, Floby se tournera vers l’internationale avec une tournée dans quatre villes françaises dont Marseille, Toulouse, Grenoble.

 

 

 

 

 

 

 

A Dieu pour la santé, la vie qu’il m’a donnée.

 

A celle que j’aime bien, qui me donne chaque jour le goût d’écrire.

 

BARKA!

A

 

FOOFO!

GRACIAS!

 

THANK YOU!

 

 

 

 

 

 

 

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Lucie: une rose peut se faner, le marbre peur se briser, mais deux êtres ne peuvent s’oublier.

 

 

 

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Eléonore :

 

 

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Madina :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai toujours cru au coup de foudre, mais jetai loin d’imaginer que c’était par ta foudre que j’allais être envoûtée

 

Tu es ma drogue, je me pique dans tes caresses, je me soute dans tes paroles, je délire en pensant a toi.

 

Et pour que notre histoire ne soi jamais finie, j’épouserai ton âme au seuil du paradis

 

Je t’aime, comment deux petits mots comme ceux la peuvent prendre si peu de place sur une feuille et autant dans mon cœur.

 

 

 

Le Notre Père

Notre Père qui aux cieux

Ton nom est saint

Fais que tout le monde le connaisse

Fais venir ton royaume

Fais que ta volonté se réalise

Sur la terre comme dans le ciel

Donne-nous aujourd’hui le pain qu’il nous faut

Pardonne-nous le mal que nous avons commis

Comme nous pardonnons à ceux qui nous ont fait du mal

Et ne permet pas que nous soyons tentés

Mais libère-nous de l’esprit du mal

Amen amen

 

 

 

 

 

 

 

C’est l’esprit saint qui donne la vie, l’homme tout seul ne peut rien faire, les paroles que je vous ai dites viennent de l’esprit saint et elles donnent la vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ne jugez pas les autres, et Dieu ne vous jugera pas.

 

Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous.

 

Pour entrer dans le royaume des cieux, il ne suffit pas de me dire seigneur, seigneur, il faut aussi faire la volonté de mon père qui dans les cieux.

 

 

 

Une personne qui apprend à réfléchir se fait du bien

Celle qui fait des efforts pour comprendre réussit

 

Il vaut mieux avoir peu et respecter le seigneur qu’être riche et plein e soucis

 

 

Une personne riche est protégée par sa richesse mais celle qui est pauvre n’est pas menacée.

 

 

Celui qui sait calmer un serpent s’il commence par se faire mordre, quel avantages pour lui de savoir le calmer.

 

 

 

 

 

Les effets du vin

 

Qui est malheureux ?

Qui vit de regrets ?

Qui se dispute et e plaint sans arrêts ?

Qui reçoit des coups sans raisons ?

Qui a les yeux troubles ?

C’est l’homme qui passe son temps à boire et qui fait sans arrêt des mélanges d’alcool.

Ne regarde pas le vin quand il brille,

Ou quand il mousse dans ton verre

Il coule facilement dans ta bouche.

Mais à la fin, il mord comme un serpent

Il pique comme une vipère

Tu verras des choses bizarres et tu diras n’importe quoi

Tu vas te croire en pleine mer

Couché à l’arrière du bateau

Tu pensera : on ma frappé, mais j’ai pas eu mal ! On ma battu mais je n’ai rien senti ! Vite je veux me réveiller pour demander encore à boire !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il y’a des chose que les yeux ne voient pas,

Les oreilles ne les entendent pas,

Les êtres humains n’y ont jamais pensé.

Eh bien, ces choses là,

DIEU les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On ne meurt pas on est tué

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

il ne faut pas pleurer d’avoir perdu la lune car tes yeux t’empêcherons de regarder les étoiles.je te fais un baiser tout comme un flocon de neige qui vient se poser sur tes lèvre.